» De ta tige détachée,
Pauvre feuille desséchée,
Où vas-tu ? Je n’en sais rien.
L’orage a frappé le chêne
Qui seul était mon soutien.
De son inconstante haleine,
Le zéphyr ou l’aquilon
Depuis ce jour me promène
De la forêt à la plaine,
De la montagne au vallon.
Je vais où le vent me mène..
Sans me plaindre ou m’effrayer,
Je vais où va toute chose,
Où va la feuille de rose
Et la feuille de laurier. » Antoine Vincent ARNAULT (Poète, auteur dramatique français, académicien, homme politique – Extrait de son recueil Fables-Livre V (1812)

wow ! what a click
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Thank you for your appreciation Plgraphy ♥
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Où le vent la porte la feuille sensiblement enrichira, mais d’un chiche enrichissement ! si bien qu’il faudra à l’automne, plus d’orgueil, plus de substrats… pour ouvrir ma poche grand… à cette généreuse donne. (sauf que je n’ai pas de portefeuille, zut ! juste un porte-monnaie!) . Mais bon…on peut toujours plier une feuille en 4…
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On le peut effectivement 🙂 Merci pour votre commentaire cher Pat. ♥
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❤
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Des pas libres traversant la vie comme le vent en mouvement constant.
Vous partagez avec nous un poème de réflexion profond et sincère.
Meilleures salutations.
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Merci d’avoir aimé … Je suis ravie de pouvoir proposer à la fois des poèmes empreints de légèreté ou amusants, mais également des textes plus profonds. L’éventail est tellement riche en poésie. Passez une belle journée Martin ♥
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