» Les ballets sont fragiles, ils s’altèrent vite. La danse change elle aussi. Dans la tête les idées se mélangent. Quand j’ai commencé à étudier le ballet, à 17 ans, la danse académique et la modern-dance étaient à couteaux tirés. Aujourd’hui les danseurs classiques sont capables de bouger » cool » . Leur engagement totalement dédié à leur art malgré la brièveté de leur carrière, me touche beaucoup. » Jerome ROBBINS (Danseur, chorégraphe prolifique d’une soixantaine de ballets, metteur en scène, co-réalisateur de films influencés par la comédie musicale américaine, maître de ballet, directeur artistique d’une compagnie de danse. Son nom reste attaché, bien sur, à celui de George Balanchine (rencontré en 1948) dont il a été d’abord le danseur, puis l’assistant et le plus proche collaborateur au New York City Ballet)
