» Pour adoucir les mœurs pour faire taire les luttes,
il existe maints remèdes comme verser des sanglots,
psalmodier un rosaire, avaler un clystère,
se retirer du monde dans un lieu solitaire,
devenir Robinson sur un quelconque îlot.
Le poète lui préfère s’accompagner du luth.
De toutes les passions le cœur est l’instrument.
Il vibre et il résonne, il chante à tout moment.
Quand la vie est cruelle il pleure éperdument.
Quand l’amour est son maître il sonne tendrement… » Alain HANNECART ( Poète français-Vers extraits de son poème Le Luth )


