» Avec ses marches usées par d’innombrables pas
Avec sa rampe où la main se pose en passant
Avec l’air à la fois confiant et distrait
Des choses qui n’ont aucun doute
Sur leur raison d’exister
Mais entre terre et ciel à même le vide
Entre rêve et réalité à même l’angoisse
Un escalier qui ne mène nulle part
Sans portes sans paliers sans rien qui le prolonge
Un escalier qui s’enroule autour du vertige
Un escalier suspendu dans l’impossible
Pour combien de moments encore ? «
Daniel LEFÈVRE (Poète français)

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Si beau partage 🙏🕊
Merci Lisa.
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Avec plaisir Eveline ♥ et merci d’avoir aimé !
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