» Les danseurs connaissent leur corps d’une façon si aigüe qu’ils peuvent être en lui, devant lui ou au-delà de lui. Et cela dans l’alternance, en changeant parfois à chaque seconde, à chaque minute. Cette dualité est ce qui leur permet, quand ils sont sur scène, de se fondre en une seule entité. Ils s’appuient, se soulèvent, se portent, roulent, se séparent, se joignent, s’arcboutent de sorte que deux ou trois corps devient un seul abri, comme une cellule vivante abrite ses molécules et agents, ou une forêt ses animaux. r. » John BERGER (Écrivain engagé, romancier, nouvelliste, poète, peintre, critique d’art et scénariste anglais)
Photos ci-dessous réalisées par Batya ANNADURDYEV avec Anna NIKULINA & Jacopo TISSI


Je viens de m’apercevoir que je ne recevais plus vos chroniques. Je me réabonne 😉
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C’est étrange .. Merci de vous être abonnée à nouveau Tatoune et doux après-midi à vous ♥
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Très belles les photos et emouvant le texte de John Berger. Merci Lisa 🙏🌹
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J’aime beaucoup sa vision des danseurs … Émouvant en effet, vous avez raison Marcello. Merci pour votre commentaire 🙂 Passez une très agréable après-midi ♥
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Merci à vous, Lisa 🌹 Une très agréable après-midi à vous aussi.🌹❤
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Merci Marcello ♥
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