« Aux branches que l’air rouille et que le gel mordore,
Comme par un prodige inouï du soleil,
Avec plus de langueur et plus de charme encore,
Les roses du parterre ouvrent leur cœur vermeil.
Tardives floraisons du jardin qui décline,
Vous avez la douceur exquise et le parfum
Des anciens souvenirs, si doux, malgré l’épine
De l’illusion morte et du bonheur défunt. » Nérée BEAUCHEMIN (Extrait de son recueil Vers extraits d’un poèmes du recueil Patrie intime en 1928)

Ping : Roses d’automne … — Plumes, pointes, palettes et partitions – TYT
Ping : Roses d’automne – En équilibre sur un fil à la lisière du rêve et de la réalité,
Merci d’avoir partagé ce poème … Passez un beau week-end ♥
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