« Rares sont les personnes émues par la disparition des mots. Ils sont pourtant plus proches de nous que n’importe quel coléoptère. Ils sont dans notre tête, sous nos yeux, sur notre langue, dans nos livres, dans notre mémoire. Dieu sait que les initiatives ne manquent pas, ni les bras, ni l’argent, pour conserver le patrimoine. Mais, alors que les mots en font autant partie que les pierres, les tissus, la porcelaine, l’or et l’argent,
ils n’intéressent pas grand monde. L’écologie des mots est balbutiante ! » Bernard PIVOT ( Journaliste français, écrivain, animateur d’émissions culturelles à la télévision. Il fut également président du Prix Goncourt)

Je suis un autre Bernard, j’aime l’écriture, les livres…
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C’est une bonne chose Bernard 🙂 … Merci de votre commentaire et très bel après-midi ♥
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Les Grecs (anciens) possédaient 9 mots pour traduire notre mot « amour » : philia, agapé, ludus, éros, mania, pragma, storgê, xénia et philautia selon le contexte. La belle langue s’effeuille à mesure qu’elle n’est pas enseignée, utilisée au profit de matières scientifiques dont le vocabulaire lui s’étoffe et se perfectionne… et c’est peut-être aussi une raison pour laquelle la poésie à changé. Les regrets appartiennent, comme leur histoire, aux anciens…
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Et c’est regrettable ! Il est dommage que l’on ne soit pas plus attentif à enseigner aux enfants le plaisir de la lecture, de la poésie, de l’écriture, des beaux mots … Merci pour votre commentaire Pat ♥
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